Vendredi 25 avril 5 25 /04 /Avr 17:11
La soirée fut d'un ennui total pour moi ... Il faut dire que j'étais aidée par mon ressentiment trouble envers mon Homme. Je ne supportais pas d'être l'attraction lubrique de tous les convives qui nous voyaient, seul couple mixte de la soirée, représenter l'eldorado. Ils complimentèrent François sur sa "réussite", ajouté à cela, leurs clins d'oeil plus ou moins dissimulés. J'en fis part à François de mon malaise de ne représenter qu'un trophée mais il me dit de ne pas m'en faire et qu'il s'en foutait de l'avis des autres.

En dehors de ça, c'étaient de parfaits machos parlant exclusivement travail et dont les femmes étaient cantonnées au fin fond de la salle. Lorsque j'essayais de me mêler à la conversation, ils se détournèrent ostensiblement de moi. Les femmes elles semblaient être frappées d'interdiction de parler et le peu de choses qu'elles disaient tournaient exclusivement autour de couches culottes.

Dépitée, je demandais à François si on était obligés de rester ... Il me chuchota que c'étaient des relations de travail et qu'il était obligé de faire acte de présence. Il m'embrassa furtivement pour me consoler. Je le suppliais une dernière fois de m'emmener ailleurs :

- Pourquoi pas Montmartre ? Je te jure que tu ne le regretteras pas.

Je lui fis un clin d'oeil lourd de sous-entendus. Il me sourit :

- On partira dès que possible, je te promets ...

Il m'abandonna.

Le repas fut une réelle torture. Je fus obligée d'écarter les mains baladeuses de mon voisin. Rien ne semblait vouloir calmer ses ardeurs, même lorsque je me blottis contre le bras de François. L'autre faisait semblant de s'intéresser à moi mais devant ma froideur, il finit par se tourner vers son autre voisine. Et je fus définitivement cantonnée au rôle de plante verte. Ne pas pouvoir avoir mon Homme pour moi toute seule me mettait réellement en fureur et ne me donnait que plus envie de lui faire l'amour. Je lui caressais le sexe sous son costume en flanelle mais il écarta ma main discrètement et fermement. J'allumais une cigarette alors même que personne n'avait fini de manger et je soufflais la fumée dans la figure de François. Il fit semblant de ne rien voir.

J'écrasais ma cigarette dans mon assiette devant la mine abusée de l'assemblée. Puis je me levais pour m'enfermer dans les toilettes. Lorsque je revins, je chuchotais à François :

- Regarde dans mon sac

Puis je quittais aussitôt à nouveau la table pour m'allonger sur le sofa des invités comme si j'avais trop bu ...

Il glissa la main discrètement par terre pour l'ouvrir et y jeter un coup d'oeil. Il manqua de s'étouffer : là, comme une pétale sur la rosée du matin, gisaient les lambeaux de mon string que j'avais enlevé puis déchiré avec acharnement ...

Il leva les yeux vers moi plus loin ahuri. Je levais discrètement la jambe et lui montrait mon intimité dénudée, de loin sur mon sofa.
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 17:56
- Vous aimez votre mari Flower ? - Oui, je n'ai jamais eu aucun doute là-dessus. C'est bien pour cela que je culpabilise d'ailleurs ... Malgré notre différence d'âge. Malgré la désapprobation de tout le monde. Je ne pourrais vivre sans lui.
- Et avez-vous été amoureuse de quelqu'un d'autre par ailleurs ?
- Je ne crois pas. Peut-être ai-je eu un doute il y a quelques années à propos d'un inconnu rencontré dans un bar. J'ai profité de l'absence chronique de mon mari pour raisons professionnelles pour m'installer chez lui. Je crois que c'est la seule fois où j'ai hésité à quitter Richard. Mais je n'ai pas pu.
- Si vous deviez quantifier la chose, combien de temps êtes-vous réellement resté fidèle à Richard ?
- Je crois que la période la plus longue c'est celle précédent notre mariage où je m'astreignais à une abstinence qui est allée jusqu'à un an. C'était un "jeu" qu'il m'avait imposé, y compris avec lui. Durant cette époque, même si c'était difficile, j'ai été en quelque sorte fidèle comme vous dites.
- Depuis, non ?
- Euhh ... Non.
- Et votre mari ... Il ne vous satisfait pas dans l'intimité ? Sexuelle je veux dire ...
- Euhhh si, au-delà de toute raison. Je n'ai rien à lui reprocher sur ce point.
- Pourtant, vous éprouvez le besoin d'être infidèle.
- En fait, je ne me pose jamais la question. Simplement, à chaque fois que cela arrive, il y a toujours un détail qui me fait perdre tout esprit pragmatique et rationnel. Comme la dernière fois ... Et dans ces cas dans ma tête c'est "advienne que pourra".

Par Flower - Publié dans : Flower - Psychanalyse
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 12:01
- En résumé, suis-je malade Docteur ?
- Non, "malade" est un terme que je récuse ... Vous êtes atteinte d'une névrose que vous vivez de plus en plus mal.
- Ah ... Et ?
- Oui. Cette névrose se traduit par une sorte de nymphomanie perverse.
- PERVERSE ???
- En quelque sorte, oui.
- Aimer le plaisir sexuel est donc une nymphomanie ... perverse ...
- Ne soyez pas aussi radicale ... Ce que je voulais dire c'est que la recherche du plaisir sexuel vous fait perdre tous vos repères.
- Euh ?
- Quelque chose dans votre parcours vous a rendue ainsi. C'est ce que nous allons nous attacher à découvrir au cours de ces séances.
- ...
- Si je peux avancer un diagnostic préliminaire, c'est qu'aujourd'hui, vous vivez dans un carcan que vous ne supportez plus.
- Quel carcan ?
- Celui que toute société nous impose à tous, mais que vous avez du mal à supporter à l'inverse de bon nombre de nos concitoyens.
- Je ne comprends pas trop ...
- Je m'explique ... Prenons exemple sur votre mariage : vous viviez en couple en harmonie avec un jeune homme que tout autour de vous assimilait comme la personne idéale et qu'il vous fallait ... Et sans doute que vous le pensiez également à l'époque. Mais à l'irruption de votre futur mari dans votre vie, vous n'avez pas hésité à tout jeter aux orties pour braver un tabou.
- Je ne crois pas, il se trouve que je l'aime, mon mari. Vous y avez pensé ?
- Je n'en doute pas ... Mais reconnaissez que notre société voit d'un mauvais oeil l'union d'une jeune femme de ... vingt-cinq ? Non, vous aviez vingt-trois ans à l'époque ! Je poursuis : l'union d'une jeune femme de vingt-trois ans avec un homme approchant la soixantaine ?
- Je vous répète que je l'aime.
- Certes mais était-ce le cas au début ? D'après ce que vous m'avez raconté, vous vous comportiez comme si vous vouliez réaliser une expérience inédite.
- En voulant coucher avec une personne qui a trente-cinq ans de plus que moi ? Cela n'a rien d'inédit !
- En voulant approfondir une relation avec une personne que vos amis et votre famille désapprouveraient. L'inédit n'est pas dans l'acte mais dans votre réflexion. Voyez-vous, une expérience est théoriquement limitée dans le temps mais vous, il se trouve que vous vouliez la vivre de façon permanente.
- Je n'y avais pas pensé.
- C'était comme si cette lubie du départ vous est arrivée parce que vous vous êtes lassée des voies traditionnelles de recherche du plaisir.
- Je vous trouve sévère.
- Ah ... Alors sachez que mes conclusions peuvent choquer, parfois même faire mal. Et je comprendrais que vous ne vouliez pas continuer ...
- Si Docteur. Je me sens défaillir à chaque jour qui passe et la culpabilité me ronge. Je voudrais y mettre un terme.
- Très bien Flower. Sachez que ce diagnostic n'est en aucun cas définitif : c'est une sorte de base de travail susceptible d'évoluer au cours de nos séances.
- D'accord.
- On va remonter petit à petit dans le temps au fur et à mesure. A la semaine prochaine.
- A la semaine prochaine Docteur.
Par Flower - Publié dans : Flower - Psychanalyse
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 17:29
Guy n'en avait pas fini ...

- Essuye-toi devant moi Charlie ... dit-il en me tendant un paquet de kleenex

Je le pris et relevai bien haut ma jupette pour bien lui montrer ma nudité ... J'essuyais le coulis de sperme étonnament abondant de mon ouverture si tendre et usé après le passage de tant d'hommes.

-  Lèche-le Charlie, c'est bon pour ta toux ...

J'eus un haut-le-coeur mais Kassim avait ordonné qu'il avait carte blanche ... Je suçais le mouchoir qui se désagrégea dans ma bouche, inondant mes papilles de l'odeur entêtante de sperme.

- C'est bien ... Maintenant, fais-moi une gâterie comme tu sais les faire.

Il me caressa la joue comme je m'approchais de son pubis. J'essayais de réprimer un haut-le-coeur. J'émis des grognements pour l'exciter tandis que je le suçais avec application. Il me carressa la joue tendrement :

- J'aime ces moments où on partage nos fluides Charlie.

Si "partager nos fluides" veut dire me faire ingurgiter son foutre comme si c'était une chose naturelle, je comprenais qu'il "aime" comme il le prétend. Pour ma part ...

Mais ce genre de réflexions métaphysiques ne m'étaient plus permises : seul mon obéissance l'était.

Il éjacula grassement au fond de ma gorge. Il vérifia consciensieusemnt mon "travail" tandis que j'engloutis son sperme en même temps que mon dégoût. Il m'aida en passant ses doigts sur les coulures autour de mes lèvres.

- Regarde-moi ... Regarde-moi, Charlie ... Voilà ... C'est bien. Ca te fera du bien comme médicament ...

C'était enfin terminé ... Il me remit une liasse de billets que j'insérais dans mon bustier, entre mes seins ... Il me fit une bise tendre en me murmurant à l'oreille :

- Quitte cet endroit Charlie ... Deviens ma femme ...

Quitter Kassim pour devenir la chose de ce débris humain, je ne sais pas si j'y gagnerais quelque chose ... Au moins, Kassim m'emmenait au septième ciel quand il me baisait ... Je me demandais si je n'étais pas tombée amoureuse de Kassim ... Sa façon de prononcer "Dame Charlotte" me donnait des frissons et j'avais un pincement au coeur chaque fois qu'il préférait m'envoyer sur le trottoir plutôt que me garder chez lui, chaque fois qu'il me parlait de sa femme ... Etait-ce de la jalousie ? Non, plutôt la peur que ma situation n'empire, brisant ce fragile équilibre où le sordide et ma vie rangée se côtoyaient sans trop me détruire pour l'instant ...

Guy s'évanouit dans la nuit ... J'entendis sa grosse voiture démarrer ... Je marchais doucement pour rejoindre Leïla et Anita au bout de la rue ... J'aperçus dans l'ombre, Jenny ... Elle, ne m'aimait pas trop donc à peine un petit salut de la tête ... Une voiture passa ... Les occupants me sifflèrent mais ne s'arrêtèrent pas ... La voiture en passant m'éclaboussa les jambes ... Les occupants s'en aperçurent et me lancèrent à travers la fenêtre :

-  Mouillée un peu plus ou un peu moins ... Ce n'est pas bien grave ... Ca ne te change pas du foutre dont tu es couverte ... Salope ...

Sous la résille, mes jambes étaient striées de boue ... Mes sandales à talons naguères noires brillantes étaient également striées. De la boue s'était également insinuée sous les ongles de mes jolis orteils dont le vernis noir écaillé laissait transparaître le transparent de mes ongles et la salissure. Mes cheveux fins s'égoutaient doucement sur mon visage, faisant couler mon maquillage impeccable en début de soirée. Le rimmel avait coulé sur mes joues me donnant l'air d'avoir pleuré des larmes noires. D'ailleurs, sans m'en apercevoir, j'avais effectivement pleuré ... Des pleurs nerveux à force d'être humiliée ... J'aurais dû être forte devant l'adversité et ne pas basculer aussi facilement dans la drogue ... Trop tard pour les regrets. Aujourd'hui, remonter la pente glissante du goufre vers lequel je cours s'avère impossible ... Aujourd'hui, pute, demain quoi ?

Je refermais bien mon court blouson en cuir pour tenter de me protéger du froid et de la pluie ... J'eus une série d'éternuements qui fit couler mon rouge à lèvres noir. Il y avait toujours ce problème de mon arrêt de l'enseignement décrété par mon mac ... Que faire ?
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 14:45
En y repensant, une violente migraine me prit à la tête. J'avais peur, une hystérie difficilement réprimée couvait au fond de mon coprs.

Ce n'est pas que je tienne à ma minable carrière de prof mais perdre pied avec la dernière partie de ma vie sociale qui soit un tant soit peu normale signifiait appartenir toute entière à Kassim sans plus aucune possibilité de s'en sortir ... L'espoir était ténu mais je voulais tout de même m'en sortir. Et ma paie de prof était ma seule rentrée d'argent qui échappait encore au contrôle de Kassim ...

Je sursautais quand une grosse berline pila devant moi. Un moment paniquée, pensant que c'était des mecs qui faisaient la chasse au prostituées ou des flics, je m'aperçus que c'était un de mes clients réguliers ... Guy ... Un petit vieux d'une soixantaine d'années ... Pas rassurant pour moi même si je ne risquais pas grand chose physiquement ...

Guy était un petit vieux d'apparence assez douce mais d'une perversité sordide qui me faisait peur. Il ne voulait baiser qu'avec moi ... Il ne voulait baiser qu'avec une blanche, trouvant que les Arabes et les Noires n'étaient que la lie de la société, n'ayant pas à se trouver en France. Malgré son racisme quasi-violent, Kassim ne trouvait rien à redire à l'incursion de Guy dans son univers : il payait très bien pour disposer de sa petite Charlotte comme il l'entend. Alors, mon mac le laissa faire ... y compris dans ses caprices : il ne voulait me baiser que sans capote en dépit des précautions exigées aux clients habituels.

Lorsque Kassim m'avait fait part des exigences de Guy, je l'avais supplié à genoux et en pleurs de ne pas céder, craignant plus que tout de contracter une MST comme beaucoup de mes collègues prostituées. Mais, dodelinant, Kassim se contenta de de me "rassurer" :

- Il m'a fourni un certificat ma chérie ... Il est clean ... Tu peux le laisser faire ...

Anita, un temps intéressée s'aperçut que c'était Guy, alors elle tourna les talons en haussant les épaules ...

Guy, sortit hors de sa berline et s'approcha de moi en balançant les épaules. Il me prit par la hanche et me traina dans un recoin sombre, dans un hall d'immeuble ...

- Alors Charlie ? Contente de me voir ?
- Oui Monsieur ...
- Allez ... Appuye tes fesses contre moi ...

J'obéis ... Le petit vieux souleva ma jupette et eut un grognement de contentement ... Il arracha ma culotte en dentelle qui craqua sinistrement ...

- Ca sent la bonne chatte ... Mmm
- Oui, je me suis préparée pour vous.
- Oh oui ça sent la bonne chatte ... Tu as raison.

Il écarta ma vulve et y appliqua entre les lèvres, un onguent. J'étais toujours debout, le buste penché en avant pour qu'il puisse tripoter mon sexe à son aise. La pluie fine avait achevé de détremper ma tête toute entière ... Des goutelettes fines et froides s'insinuaient partout ... Dans mon cou, sous le blouson, attaquant ma poitrine dénudée. L'acidité de la pluie sur mes cils me faisait cligner des yeux à toute allure ; mon nez commença à être à nouveau pris sous le froid ; je toussais grassement à nouveau :

- Teuhhh Euhhh Teuhh ...
- Ce sont les cochonneries que tu prends qui te font ça, osa "timidement" la voix fluette du petit vieux
- Teuh Euhh ...
- Ou bien c'est quand tu te fais baiser par les Nègres ... Charlie, tu m'écoutes ?
- Teuhh Euhh ... Oui ... Teuh ... Monsieur ...
- Qu'est ce que tu en penses ? ... Tu trouves ça normal que je sois obligé de te nettoyer le chatte de toute la merde que les Nègres laissent dedans chaque fois que je viens ?
- Teuhhh ... Non Monsieur ...
- Charlie, je t'ai déjà dit de m'appeler Guy ...
- Oui Guy, désolée ...

Kassim était bien sûr au courant des propos que me tenait systématiquement ce Guy mais pour lui, le business, c'est le business ... Guy se releva triomphalement :

- Voilà ... C'est propre ... Prêt à l'usage !

Entre-temps, il s'est dégraphé le fute et mit à l'air un sexe épais et ridé qu'il enfonça sans effort dans mes replis délicats et intimes.

- Alors Charlie ... Tu n'es pas contente que ce soit enfin un homme qui te baise ?
- Oui ... Han ...

Il venait de me donner un coup de reins qui me surprit ...

- Ca te change des singes hein ?
- Oui ...

Il aimait l'amour interactif ... J'étais clouée sur sa virilité agée comme un papillon de nuit ... Mes fesses étaient soudées, fossilisées autour de son dard pénétrateur et c'est lui qui dirigeait avec maestria notre accouplement malgré notre position peu confortable ... De ses mains, il entretenait l'écartement de ma raie pour bien détailler et observer mes lèvres intimes s'enrouler et se mouler autour de la circonférence de sa bite ridée.

- Rien n'est aussi beau que la vulve d'une femme ouverte par une belle bite ... Tu ne trouves pas Charlie ?
- Han ... Han ... Si fait, Monsieur ... Guy ...
- Une femme comme toi devrait se promener avec toujours quelque chose dans la chatte pour maintenir cet écartement si parfait.

C'est du délire total ... Quelle horreur ! S'il pouvait abréger mon dégoût ... Oui, je sentais qu'il allait venir ... Guy se crispa en me broyant les hanches amaigries par la consommation de drogue. Il explosa en passant la main par devant et en l'insinuant simultanément dans ma vulve pour l'agiter ... Il m'inonda de son foutre putride de vieux ... Je simulais un gémissement de contentement ...

Il se retira ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 16:32
Puis je raccrochais ...

Je restais longuement prostrée les bras ramenés contre mes jambes et la tête enfouie.

- Flower ?

Oui, on devait sortir pour sa putain de soirée où je devais faire la potiche mais en même temps, c'est tellement mieuux d'être à ses côtés. Je soupirais de dépit. Il était temps de me préparer.

Je pris longuement le temps de me faire un brushing et de me maquiller avant de revenir dans la chambre où François me regardait toujours aussi silencieux. Nous étions attendus pour vingt-et-une heure et il était déjà vingt heures. En comptant le trajet, nous allions être en retard. Je m'attendais à des reproches de la part de François, il n'en était rien ... comme d'habitude ... Ca me déprimait : une dispute emmènerait un peu de vie dans mon couple illégitime et m'aiderait forcément à prendre une décision.

Juste vêtue d'un string, je me choisis une robe de soirée que mon mari m'avait offerte, pour une réception dans une ambassade quelconque il y a un an ... On l'avait choisie à l'époque terriblement sensuelle.

J'étais sexy à tomber et pourtant, François, allongé sur notre lit me regardait avec un air d'une désespérante indifférence. J'avais l'impression que l'expression humaine et chaleureuse de François ne ressortait que lorsque nous faisions l'amour. C'est peut-être pour ça que je n'avais de cesse que nous nous retrouvions dans le sexe. J'étais perpétuellement en train de le chauffer, de tenter de l'exciter ...

Exprès, je me tins debout devant lui et lui posais un pied sur la cuisse sous le prétexte d'enduire ma jambe de crème adoucissante. L'air faussement maladroite, je lui effleurais l'entre-jambes de mes orteils vernis. Il ne réagit pas. Je haussais les épaules dépitée mais je laissais mon pied sur sa cuisse lorsque je me penchais pour saisir l'une de mes sandales à talons. Je me l'enfilais de la façon la plus sensuelle possible puis la nouait lentement au pied. Je recommençais avec l'autre ...

Toujours rien ! Au contraire, il éteignit sa cigarette et se leva :

- Tu es prête ? On y va ...
- Merde, maugréais-je.

Je le regardais avec avec défi, les mains sur les hanches, habillée de ma robe. Richard me l'aurait arrachée pour me baiser comme un malade mais lui ... RIEN.

Furieuse, je saisis un vase dessiné par un designer hors de prix que je lui lançais avec rage sur la tête. Il esquiva le projectile qui se brisa à la tête du lit et sans dire un mot, il se ralluma une clope en attendant patiemment que je me calme. De guerre lasse, je m'allumais aussi une clope et à la fin, vaincue, je lui lançais un regard qui donna le signal de notre départ.

Durant les deux heures de trajet pour rallier Paris, nous n'échangeâmes aucun mot. Je boudais dans mon coin et François tapota tout le long sur son Palm. Pour l'embêter, j'étendis mes jambes sur ses cuisses : il n'eut que le temps d'écarter son appareil avant de reprendre son activité comme si de rien n'était. C'est la première fois que François m'énervait à ce point, car c'est la première fois que François me résistait. Ca ne faisait qu'attiser le feu qui me consumait.

Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 17:28
J'étais perdue : une ville si grande et si libre comme Paris ne m'a jamais parue aussi oppressante. J'étais seule ... J'étais seule ... Je ne savais pas comment faire ... J'étais perdue ... Je sanglottais amèrement durant des heures ... Le froid m'engourdissait puis finit par me calmer.

Je déambulais dans les rues, cherchant les parties les plus sombres, me cachant de la lumière, des gens dont j'avais peur qu'ils voient ce que je cherchais à masquer. Je me sentais si sale ... extérieurement et intérieurement ... Le chemin de ma rédemption promettait d'être long et douloureux.

Un pont vers la place Stalingrad ... Il m'avait semblé désert ... Je m'y suis roulée en boule en dessous et je me suis endormie en grelottant de froid.

Je fus réveillée par un clochard vieux et hirsute qui devait faire dans les deux mètres. Il me hurla dessus et moi, je me suis couverte la tête de mes bras dans une vaine résistance.

Il me frappa : je tentais de hurler ...

Il me frappa de plus belle en me faisant taire : je lui obéis, terrorisée ...

Il sentait l'alcool et la crasse ...

Il me cracha dessus : je me laissais faire ...

Je ne comprenais rien à ce qu'il me gueulait : j'ai juste retenu que j'allais être sa femme ...

J'étais terrorisée, j'étais démunie, j'étais piégée.

Las, il m'écarta les bras sans ménagement puis m'arracha les vêtements. Je tentais de résister mais il me frappa à nouveau. Je cédais enfin lorsque le goût du sang envahit ma bouche. J'étais hébétée et silencieuse lorsque mon haut de survêt' partit au loin. Il déboutonna mon pantalon sans que je n'oppose plus de résistance. Il baissa son pantalon : l'odeur de la crasse aigre se démultiplia ce qui faillit me faire évanouir.

Nue, il me retourna sur le ventre et commença à s'allonger sur moi.

Je sanglotais en sourdine.

Ses bras immenses se posèrent devant mes épaules, formant une sorte de cage, m'emprisonnant de son corps. Je sentais son pubis contre la raie de mes fesses. Je sentais son pénis appuyer fermement sur ma fente. Il m'ouvrit en me mutilant atrocement. J'ouvris la bouche pour crier ma douleur mais aucun son n'arriva à traverser ma gorge. Et lui, il me violait toujours de plus en plus. Il finit par s'abutter au fond de ma matrice et s'immobilisa. Puis, lentement il commença ses va-et-viens longs et douloureux, possédant mon corps.

Comme tous les hommes qui ont croisé ma route, il voulait mon cul et profiter de ma détresse. J'avais déjà accepté mon sort depuis longtemps aussi je trouvais finalement normal que celui-ci prenne sa part de gâteau.

Il jouit, déversant sa fécondité et ses germes au plus profond de mon corps meurtri. Je sanglotais de résignation.

Il s'endormit autant de fatigue d'avoir joui que d'alcool dont il était imbibé.

Je réussis à m'extirper de sous son poids mort et à me rhabiller tant bien que mal.

Je ne pris même pas la peine de me nettoyer sommairement le vagin des scories putrides qui le tapissaient, tellement j'avais peur de rester sur place : c'est un miracle que d'autres clodos ne soient pas venu prêter main forte à mon violeur.

Tant pis si sa saleté venait de me contaminer tous le corps.

Je m'enfonçais dans la nuit ... Il n'était plus question de repos.
Par Flower - Publié dans : Charlotte - Deuxième vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 14:34
Je soupirais en revenant à la réalité ... Ce soir n'est pas ce qu'on appelle une soirée faste : la pluie, le froid devaient empêcher les clients d'affluer. Il serait pourtant de bon ton que quelques-uns se présentent ... Si je rentre bredouille, Kassim me rossera à nouveau et ça ne m'enchantais pas vraiment ...

Je sursautais en entendant Anita, mon autre collègue, aussi détruite par la drogue que moi :

- Charlie ... Tu ne peux pas me dépanner d'un fix ?

Ma bronchite me fit douloureusement tousser ...

- Teuhhh teuhh euhhh ... Tu ... Tu fais chier Ani ... Je n'en ai plus beaucoup d'avance ...
- Ca va vraiment pas toi ma chérie ... S'il te plait Charlie ... Si je redemande à Kassim, il va encore me tabasser.

Je n'allais évidemment pas laisser ma camarade dans la panade ... Ma dépendance n'est pas encore aussi avancée que la sienne. Je lui refilais une de mes dernières dosettes. Je me débrouillerais pour plus tard.

- Merci Charlie ... C'est pas la joie hein ?
- Non ...

Non, ce n'était pas la joie. Sa dernière phrase, juste avant que je rejoigne mon territoire me glaçait toujours le sang. Ma punition m'avait remis dans le droit chemin mais il ne s'était pas passé plus d'une semaine quand Kassim a serré une fois de plus la vis pour me débarrasser de mes dernières libertés :

- Charlie ... C'est la crise là ... Après les vacances, tu arrêteras ton boulot au lycée pour faire du plein temps ...

J'avais pourtant tout fait pour me rendre disponible au possible : je refusais toutes les heures sup qui auraient amélioré ma paie ridicule. Je vivais uniquement de mon salaire de base et de quelques aides de mes parents, à qui je cachais toujours ma situation réelle. Mais ça ne suffisait toujours pas à Kassim : ça l'énervait que je doive caler mes passes avec mon emploi du temps de prof au lycée. J'avais marché sur des oeufs pour tenter d'objecter :

-  Mais ...
-  Ma puce, tu es ma meilleure rentrée d'argent tu sais ... C'est grâce à toi que mes meilleures ventes se font ...
-  ...
-  Tu ne tapineras qu'en semaine ... Le week-end, tu feras de la "représentation" comme tu sais les faire ...

Ah oui, mais non ... Enfin, il me faut juste formuler ça autrement ... Mais Kassim me coupa l'herbe sous les pieds ...

-  Et puis ... Quand tu es à mi-temps comme ça, on ne se voit pas trop ... Tu sais bien que je t'aime ... Tu me manques ...
-  Je vous aime aussi Kassim mais ...
-  Si je ne te vois plus aussi souvent, tu risques de me manquer tu sais ... Toi seul sait faire des choses avec moi ...

La pente devient dangereuse pour moi ... Quand il se met à être aussi mielleux comme ça, c'est le signe qu'il ne l'est justement pas. Bien au contraire ... Ce serpent à sonettes est prêt à mordre et si je tiens à la vie, il s'agit de ne plus le contrarier ... Pour l'instant ...

-  Vous me manquez trop Kassim ... C'est la seule solution, vous avez raison ... J'arrêterai après les vacances de février ...
-  Je sais que ça te coûte ... Je sais que tu aimes le contact avec les enfants ... Si ce n'était pas la crise pour moi, je te ferai arrêter pour t'en faire plein ...

Autant je rêvais de faire des enfants, autant ... Non, pas comme ça ...

Mais pouvais-je faire autrement ?

- D'accord Kassim ... D'accord ... Je ferais du plein temps

Je réprimais un sanglot. Je fis semblant de sourire tandis qu'il me serra dans ses bras.

Kassim sourit et m'embrassa. Je répondis fougeusement à son baiser.

- Allez, habille-toi ... Tes clients t'attendent.

Pouvais-je faire autrement ?
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 14 avril 1 14 /04 /Avr 16:22
La lourde porte du centre de désintoxication claqua comme un tonnerre. D'aucuns seraient ravis de recouvrer la liberté. Pas moi. Là, pour la première fois depuis longtemps, je suis laissée livrée à moi-même et ça me fait peur. Je n'ai pris que du sursis depuis la rafle dans l'appart de Kassim après quelques semaines de préventive mais j'ai dû être internée dans ce centre.

Je marchais sans but dans les rues de Paris que je redécouvrais. Les gens étaient heureux et pas moi. J'avais bien une carte téléphonique mais je n'osais appeller personne. Je ne savais pas où aller : dans mon centre, personne ne me rendait visite mais au moins, j'avais le gîte et le couvert. Là, je n'ai plus rien.

Je m'effondrais en larmes en frissonnant de froid ...

Il faisait nuit depuis longtemps, une horloge m'indiquait 11h. Par hasard, je me retrouvais face à l'entrée d'un hôtel sordide. Je m'essuyais les yeux puis, prenant mon courage à deux mains, j'entrais. Le réceptionniste me regarda d'un sale oeil ...

- Monsieur, je suis sans ressources ... Je ne sais pas où dormir ... Pourriez-vous me prêter une chambre jusqu'à demain ?
- Casse-toi conasse ... Ici, ce n'est pas l'armée du salut ... Les tarées comme toi feraient peur aux clients.

Affolée, je me suis précipitée dehors. Je réessayais à nouveau dans d'autres hôtels mais les réponses étaient aussi invariables qu'agressives. La mort dans l'âme, je retentais à nouveau dans un dernier, un peu plus énergique et décidée :

- Monsieur ... Voilà, je suis sans ressources et je ne sais pas où dormir ce soir en attendant de rejoindre des amis en province demain matin ... Je voulais savoir si vous pourriez être charitable et me permettre d'occuper pour la nuit une chambre ...
- DEHORS !!! Tu pues ...
- Monsieur ... Soyez sympa s'il vous plaît ... Je pourrais être très gentille

Le réceptionniste hésita ...

- Fais voir ce que tu as en dessous de tes nippes

J'eus envie de vomir, mais je déboutonnais mon haut de survet'. Je ne comprenais pas ce qui pouvait exciter les hommes de me humilier ainsi, d'autant que ma maigreur faisait désormais peur tellement que je ressemblais à une anorexique. J'extrayais mes seins frippés mais ça ne suffirait pas au gros dégueulasse qui commença à envoyer sa main droite sous le comptoir sans aucun doute sur sa destination.

- Fais-en voir plus ... Baisse ton froc.

J'avais compris depuis longtemps que mon repos pour la nuit devait en passer par là. Il faisait juste durer le plaisir. J'avais pris la décision de rejeter au loin ma vie de prostituée mais le monde ne l'entendait pas ainsi. J'hésitais tout de même à aller plus loin vu que tous les passants devaient m'apercevoir à travers la vitre. Mais il insista méchamment :

- Tu attends le déluge ?

Je délaissais mes seins exposés pour déboutonner mon pantalon.

- C'est ça conasse, continue ... huuuh

Il gémit d'excitation.

- Mets-toi à genoux ... Comme ça ...

J'obéis tandis qu'il rejeta sa tête en arrière en fermant les yeux. Il souffla comme un phoque, sa main droite accéléra brusquement sous le comptoir ... Je vis enfin jaillir un formidable jet blanchâtre de sous le plan du comptoir pour atterrir sur son pull miteux ...

Le réceptionniste reprit petit à petit ses esprits en me fusillant de ses yeux hagards :

- Bordel ... Je m'en suis foutu partout ... Allez casse-toi, je t'ai assez vu ...
- Mais Monsieur ... Vous m'aviez promis ...
- Casse-toi sale putain ou j'appelle les flics ...
- Monsieur ... S'il vous plaît ... Monsieur ... Vous n'avez pas tout vu.

J'étais affolée d'avoir vendu mes charmes pour rien. J'étais affolée, démunie : il fallait l'appâter encore mieux. Je commençais à retirer tous mes vêtements sans plus me faire prier mais il se rua hors de son comptoir avec une batte de base-ball. Il rata de peu ma tête tandis que je me précipitais à quatre pattes hors de son hôtel.

Je l'entendais encore hurler au moment où je me suis blottie dans un recoin sentant l'urine pour remettre de l'ordre dans ma tenue.

La question me taraudait toujours l'esprit ...

Qu'est-ce qui, en moi, pouvait tellement exciter les hommes à me humilier alors même que je faisais peur à voir ?
Par Flower - Publié dans : Charlotte - Deuxième vie
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 14 avril 1 14 /04 /Avr 12:27
Une heure durant j'abreuvais Emilie de mes états d'âme sans pouvoir m'empêcher de pleurer.

François avait sorti une caméra et me filmait assise en tailleur sur le sofa. Ca l'excitait, ça me rassurait aussi de voir que je suscitais autre chose que de l'indifférence chez Lui. Peut-être qu'à défaut, il abrègerait ma torture en me prenant violemment, séance tenante ? Ca ne ferait guère que la cinquième fois de la journée ... Mais non : il éteignit plus tard sa caméra et sortit du salon pour vaquer à ses occupations dans son bureau ...

Je fus soulagée quelque peu que François quitte la pièce : je me sentais un peu plus libre de me confier à Emilie ...

- Et vous sortez des fois ?
- Rarement ... Et surtout pour de longues balades à deux sur la plage ...
- Il a honte de toi ?
- Non, ça n'a pas l'air de Lui poser de problème que je L'accompagne dans ses soirées.
- Et toi, tu ne l'emmènes pas dans tes soirées ?
- Je n'y vais plus ... D'ailleurs tu serais au courant depuis longtemps si c'était le cas.
- C'est vrai ... Et ton mari aussi ... Richard ne se doute de rien ?
- Je ne crois pas ... Et tu le connais, s'il était au courant, il m'enfermerait au sens propre du terme.
- Exact ... Et ce soir, vous faites quoi ?
- On sort ... Il a une réception chez des amis ... J'étais en train de me préparer tranquillement quand tu m'as appellée.
- Et il attend patiemment que tu aies fini de papoter ... Il est trop chou ...
- En fait, Il était en train de me filmer en train de m'épiler le minou ...
- QUOI ????

Emilie éclata de rire.

- Tu as repris tes bonnes vieilles habitudes ma vieille ...
- Arrête, ce n'est pas drôle ...
- Excuse-moi ... Mais c'est un peu vrai non ?
- Non ... Avec Richard, c'est différent : les plans cul qu'on a, aussi osés soient-ils, sont toujours à son initiative. Moi, je me contente de lui faire plaisir ... Avec François, c'est différent ...
- Comment ?
- Là, c'est moi qui ai tout le temps envie. Dès que je Le vois, j'en ai envie ... La journée, toute seule à Paris, c'est une torture ... Je te jure ...
- En fait, ici, ça va on vit à peu près normalement sans contraintes mais dès qu'on sort ...

Je m'arrêtais, hésitante ... Emilie ne me laissa pas de répit :

- Oui ? Dès que vous sortez ?
- Je ne sais pas comment te l'expliquer ...
- ...
- Dehors, je suis tellement heureuse qu'on me voie à Ses bras ... Ca m'excite énormément ...
- Alors ?
- Alors, je n'arrive jamais à tenir jusqu'à notre retour à la maison.
- Hannn ... La vache !

Emilie a toujours eu ce langage parfois châtré des nanas sûres de leur pouvoir de séduction.

- Donc, tu es obligée de t'enfermer ?
- Non, je Le supplie de nous trouver un endroit pour baiser ...
- Punaise ... Là, tu me bats Flo et de loin ...
- Je te rappelle que je ne fais pas un concours ...
- Et ce soir ?
- Ce soir ? Je ne sais pas ... Je vais me tenir, c'est sûr ...
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Laissez vos messages ...

Je recherche quelques volontaires pour commenter la perception que vous avez des différentes héroïnes du blog. Cela m'aiderait beaucoup de connaître votre avis. Cliquez sur le nom correspondant pour être redirigé directement sur la page correspondante.



Qui suis-je ?

Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


Voilà et gros bisous de bienvenue.



Vous êtes  à être venus me voir  ... (Personne n'en saura rien :))

 

 

Retourner à l'ACCUEIL

BlogueParade.com - Annuaire des Blogues francophones
annuaire sexe lien dur

Exprimez-vous ...

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Dites-moi ...

W3C

  • Flux RSS des articles
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus