Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 16:00
Cette nouvelle rubrique pour vous parler un peu de moi ...

Elle ne se présentera pas contrairement aux autres comme les séquences d'une histoire entière : je l'utiliserai pour parler un peu de moi, de quelques bribes de ma vie ...

Mais je n'en dis pas plus : à vous de le (me) découvrir.

J'avais un peu plus de la vingtaine à l'époque ...

Bisous

Flower
Par Flower - Publié dans : Flower - Un peu de moi ...
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Lundi 14 mai 1 14 /05 /Mai 08:54
Je retirais mon bras pour m'offrir totalement ... Mr Pink me laboura alors de tout son aise puis éjacula comme ses prédecesseurs dans ma chatte ... Il se releva et j'allais à nouveau entamer ma petite toilette lorsque le quatrième - Mister Black, le chef de la bande - m'arrêta :

-  Pas la peine, je vais t'enculer ... Retourne-toi ...

J'obéis et tout aussi brutalement que ses comparses, il me pénétra ... Mon anus fut sauvagement agressé par l'intromission. Des larmes de douleur me vinrent aux yeux mais je tins bon. Lui fut moins endurant que ses partenaires car en cinq minutes il se déversa avec un grognement déçu dans mes entrailles. Ils se rhabillèrent et sortirent tous, à l'exception de Mr Pink ...

Quatre heures après, ce furent Mr Black et Mr Pink qui m'honorèrent ...

-  Tu sais à qui tu appartiens ?

-  Oui ... à Kassim ...

-  Pourquoi tu lui a désobéi alors ?

-  Je ne le ferais plus jamais ... Plus jamais ...

-  Et tu sais ce que veux Kassim là tout de suite ?

-  Que vous me sautiez ... que m'enculiez ...

-  Tsk Tsk ... Il veut que tu aie envie de nous, je dirais plutôt ...

-  ...

-  Tu as envie de nous ?

-  Oui

-  Comment ?
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Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 18:43
La jouissance me laboura les reins de toute sa puissance durant de très longues secondes ... des secondes qui me parurent être des minutes, voire des heures ... Je me calmais enfin essoufflée reposant ma joue sur son torse ... Mais je savais que ce n'était pas fini ... Même essoufflée, je ne voulais pas que ça finisse ... Je voulais que ça ne finisse jamais ... De toute manières, François n'a pas joui alors je savais que ce n'était pas fini. Il me laissait juste reprendre mon souffle ... En attendant, il jouait avec mon dos puis la raie de mes fesses, tout en restant bien chaudement enfoncé en moi ... Il me titilla l'étroite rose intime, me donnant une idée de ce qu'il voulait ...

Lorsque je fus requinquée, je me détachais de lui tandis qu'il me tenait toujours les hanches comme un vase précieux. J'entrepris néanmoins de le déshabiller complètement tout en ponctuant mes actions de légères morsures ou de succions tout le long de son corps. Je ne lâchais son corps que lorsqu'il fut complètement dénudé. Je m'agenouillais puis déposais un chaste baiser sur son sexe avant de le rejoindre allongé sur le lit. Je lui chuchotais à l'oreille :

- Je t'aime ...

C'était devenu une banalité mais cette phrase, je ne la réservais qu'à mon mari et depuis François, j'en usais et en abusais ... Il me prit par les épaules puis me força à me relever pour lui tourner le dos, puis me mettre à quatre pattes ... Je savais ce qu'il voulait ... Je me soumis ...
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Vendredi 11 mai 5 11 /05 /Mai 20:06
Je réprimais mes gémissements ...

Il finit par éjaculer puis se retira ... Le deuxième - Mister Brown - m'ordonna de m'accroupir puis d'évacuer le trop-plein de sperme de Mister White. J'obéis et, avec mes doigts, je raclais mon vagin pour laisser écouler la semence qui venait de le remplir. Aussitôt fait, je me remis sur le dos pour recevoir Mister Brown, qui sans plus de préparation, m'enfonça le pénis dans le vagin et avec la même ferveur mécanique que son prédecesseur, me laboura le ventre. Le premier passage de Mister White m'avait ouverte et je n'eus plus aucun mal à recevoir Mister Brown. Il finit, à son tour, par s'épancher grassement. Le troisième - Mister Pink - m'enjoignis de réopérer le même rituel pour me nettoyer la chatte. L'humiliation était un sentiment remisé depuis longtemps au fin fond de ma conscience : seul l'instinct de survie m'animait. Ma vulve était irritée ... Mes doigts la raclèrent ... Les quatre hommes restaient inexpressifs devant le spectacle de mon corps autonettoyé, accroupi comme lors d'un lavement intime ... Mes cheveux lâchés, un peu hirsutes, pendaient devant mon visage penché en avant pour surveiller ce que je fais plus bas. Mes seins ridicules pendaient également lamentablement, déformés en gouttes sous l'effet de la pesanteur ... Mister Pink m'interrompit :

-  C'est bon ... Lèche-toi les doigts et remets-toi en position !


Je suçais mes doigts longuement tout en me rallongeant sur le matelas ... Le goût douceâtre des spermes mélangés m'irrita les papilles ... Mister Pink me couvra et me pénétra tandis que dans un réflexe tenace malgré le temps passé dans le monde de Kassim, je me couvrais du bras la poitrine pour cacher mes seins ... Mister Pink me giffla ...

-  Tu veux nous cacher quelque chose ?

-  Non ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Jeudi 5 avril 4 05 /04 /Avr 19:08
A tour de bras, il se défoula sur ma tête ...

J'acceptais comme d'habitude : je tendais toujours ma joue à la prochaine trouvant normal de me faire corriger ...

Le goût de sang dans la bouche, après qu'il eût arrêté, je ne me déparrais plus de mon regard brûlant. Le feu s'est embrasé dans mon ventre et plus rien ne pouvait l'éteindre sauf me faire violer encore par ces brutes ... La drogue n'est pas un aphrodisiaque pour moi : c'était la violence et la souffrance ...

Mr Black décontenancé se reprit très vite en appelant ses camarades :

- Ho ... Les gars ! Venez ! Pain de mie veut de la bite ! Beaucoup de bites !

Les trois autres se précipitèrent ...

- Putain ! On va se la faire ...

- On va la faire hurler ... de plaisir !

Mr Black se tourna vers Abdou et ses deux camarades, blêmes devant la tournure des évènements :

- Elle vous a dit ? Elle veut des vrais mecs ... Cassez-vous dehors petits cons ...

Dans un silence surréaliste, les trois adolescents violeurs quittèrent la pièce que l'un des copains de Mr Black (appellons-le Mr Pink) verrouilla derrière eux.

Le but était toujours de mater ma dernière résistance à mon sort : je ne l'avais pas oublié malgré mes gargouillis de chienne en chaleur réclamant son viol addictif. Les quatre sbires, Mr Black, Mr Pink, Mr White et Mr Brown, voulaient juste prendre du bon temps. Plus de rebéllion si je voulais survivre mais en l'état actuel des choses, c'est moi qui réclamais ma punition.

Le premier me déchira ou presque la chatte. Sans préliminaires et sans vaseline, je souffrais toujours malgré la centaine pénis que Kassim avait fourrés dans ma chatte depuis que je suis sa chose ... Son VIP-Room ... C'est ainsi que Kassim qualifiait mon puits fécond comme si c'était une vulgaire entrée de boîte de nuit dont il filtrait l'entrée ... Etait-ce vraiment éloigné de la réalité ? Le premier malabar, Mister White, me défonça la chatte et entrepris un va-et-vient lourd qui élargissait mes parois de moins en moins intimes à chaque passage. Sans un mot ni autre démonstration de tendresse, il me défonça ainsi durant presque une demi-heure.

Malgré mon excitation, je ne pus retenir l'expression d'un cri de douleur ...

Mr Black, attendant son tour, me l'éteignit d'une puissante giffle ...
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Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 14:54
J'aurais été jusqu'au bout si François ne m'avait pas fermement interrompu au bout d'un moment. Il écarta mon visage et me souleva par les aisselles pour me porter sur le lit avec lui. Je soupirais de dépit mais me laissais faire. Je me mis à califourchon sur lui et calant son pénis à l'entrée de mon vagin, je m'assis lentement pour l'engloutir entièrement : j'étais soulagée car ce que ma bouche a failli à faire, mon vagin pouvait se le permettre. Je posais mon buste sur son torse et je commençais à onduler mon bassin de bas en haut pour que son pénis puisse me masser les chairs intimes comme j'aimais qu'il me fasse. Les mots me vinrent à nouveau sans que je puisse l'empêcher :

- Tu m'as manqué ...

François toujours sommairement deshabillé me saisit par les fesses et c'est lui qui me souleva et me reposa pour imprimer le rythme de notre coït sauvage. Mes hallètements emplissaient le silence de la maison durant de longues minutes au rythme de mon plaisir. Cependant, François ralentit le rythme dès qu'il me sentait venir : il ne voulait pas que l'énergie de mes orgasmes soit gaspillé à tout va ... A chaque fois, la frustration d'avoir été interrompue en plein essor me poussait à repartir de plus belle. Ce fut seulement après plus d'une heure qu'il me laissa faire : je me cabrais de tous mes muscles ; je me cramponnais à son torse : mes ongles s'enfoncèrent profondément dans ses muscles ; mes cuisses sérrèrent à tout rompre ses côtes ; ma bouche s'assécha soudainement ; des étoiles m'aveuglèrent avant que je ne ferme définitivement les yeux ; je tremblais de partout ; lui me tenait toujours par mes hanches étroites.
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Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 14:44
Des mots sans suite s'écoulèrent hors de ma bouche et lorsque j'arrivais à en faire des phrases, ce fut pour copipeusement insulter Abdou et ses camarades d'avoir abusé de moi. Eux, brusquement, furent terrorisés par ce bout de femme complètement à la merci de leur éventuelle colère mais qui leur tenait tête ... J'avais pris le pouvoir :

- Je suis la pute de Kassim, leur hurlais-je comme si j'y conférais le titre d'impératrice de l'univers, vous avez osé me violer sales petits cons.

Alertés par le bruit de mes hurlements, les sbires de Kassim revinrent éberlués par la scène où couverte du sperme des adolescents, je leur aboyais dessus tandis qu'ils se terraient dans l'ombre.

- Qu'est_ce qui se passe ici, rugit le chef ... (appelons-le Mr Black, en hommage à un certain film de Tarantino)

Personne ne lui répondit ...

Personne sauf moi ...

- Baise-moi mon chéri, j'ai été violée par ces gosses ... Je veux un homme ...

Mon regard n'étais plus vitreux : c'était la chienne que j'étais devenue qui s'exprimait ; qui expulsait ces paroles comme si elles avaient été longtemps, trop longtemps confinés au fond de mon vernis de pudeur. Je me prosternais lentement devant Mr Black ...

Un très long silence suivit ma rebéllion-soumission car j'allais à contrepied de ce pourquoi Kassim m'avait envoyé ici ...

Mr Black s'avança la paume de la main en avant pour me gifler ...
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Mardi 20 mars 2 20 /03 /Mars 08:08
Un sourire éclaira aussitôt son visage taciturne et il m'embrassa tandis que je passais mes bras autour de son cou, rendant son baiser passionné. Il se détacha furtivement avant que je ne happe à nouveau sa bouche :

- Tu es incroyable Fl ...

Il ne put finir sa phrase car ma langue venait d'investir sa bouche. Il me porta ainsi vers l'intérieur, directement dans sa chambre, sur son lit. Il s'assit sur le rebord et je me glissais sur la moquette pour reprendre ma fellation interrompue. Je repris son braquemart dans ma bouche. Je voulais qu'il se déverse dans ma bouche ... Je n'aimais pas prodiguer une fellation : avec François, je ne voulais pas, j'en avais envie. Lui me retirait tant bien que mal mon manteau : je voulais bien l'aider mais il était hors de question que son pénis ne sorte de ma bouche, aussi une opération aussi simple que se deshabiller devint un parcours du combattant. Je dus tout de même m'interrompre lorsqu'il me fit passer le pull léger que je portais mais c'est pour aussitôt reprendre mon travail de fourmi travailleuse du sexe. François me dégrapha le soutien-gorge qui finit par échoir à mes cuisses. C'est affublée de mes seuls bas et de mes escarpins que j'achevais la fellation de mon Homme. Il me tint par le visage pour accompagner mes mouvements de va-et-viens. J'enrageais de ne pouvoir engloutir entièrement la verge de François aussi j'alternais la technique en ressortant puis en léchant plus bas, les testicules mais je ne tardais jamais à remonter pour avaler le bout nourrissant de son pénis.
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Dimanche 18 mars 7 18 /03 /Mars 11:31
Abdou prit longuement son temps, intimant impérieusement à ses camarades, frustrés, de se tenir à l'écart : ceux-ci, bien que furieux, obéirent néanmoins à leur chefaillon, respectant l'ordre animal qui se met perpétuellemnt en place dans leur milieu de violence. Abdou suborbonne ses deux camarades de lycée mais lui-même, précédemment, dans la soirée, se tenait respectivement à l'écart lorsque les sbires de s'en donnaient à coeur joie avec moi. Et je savais que malgré l'absence de Kassim, son spectre d'empereur reignait sur nous tous : il était toujours là ... même absent ... Et à la seule évocation de son nom, chaque être humain se fige furtivement comme si à distance, il pouvait tous nous foudroyer sur place ...

Et moi, au milieu de tout cela, au milieu de toute cette colonie de violents ... au milieu de cette fratrie mafieuse de noirs, offerte en guise de trophée, passant aux mains des uns et des autres selon le bon vouloir de Kassim et surtout pas du mien, moi ou plutôt mon corps de blanche lobotomisée ...

Enfin Abdou jouit longuement dans mon corps ... Il se cripsa sur mes hanches en vidant sa semence juvénile dans ma grotte abîmée par tant et tant d'usage ... Abdou, jouissant était désarmé et redevint le petit garçon un peu turbulent que je punissais en classe. Ce dernier sentiment décupla en moi une sorte de haine envers mon élève ...

Celui-ci sans un mot tomba dans une sorte d'infériorité devant cette femme au regard haineux qu'il venait de violer. Cette haine, ce n'était pas la souffrance qui l'avait causée, c'était l'irrespect ... Et ça le faisait peur ... bizarrement ... alors qu'il m'avait toujours sous sa coupe ... Il se recula terrorisé par mes yeux bleux transparents et transperçants ... D'un geste, il fit comprendre à ses camarades qu'il fallait qu'ils oublient l'idée même de vouloir me faire subir les derniers outrages ...

Rampante sur le sol, tout en continuant à fixer l'ombre des trois garçons s'écartant ostensiblement, une bave de haine suintant à la commissure des lèvres ... Je me saisis de mon garrot et d'une seringue qui avaient déjà servi auparavant ... Dedans, par les soins d'un des sbires de Kassim, tenant à ce que je sois maintenue dans un état de dépendance permanente, était emplie de l'héroïne quasi-pure de la plus grande qualité qui soit ... Oui, Kassim tenait à sa pouliche alors il la chouchouttait en lui injectant la meilleure qualité ...

Je me fixais mon garrot puis, après quelques tâtonnements, je me piquais enfin et avec une délectation qui me fit oublier à peu près tout l'univers qui m'entourait, je sentis le mortel liquide s'écouler petit à petit dans mon sang ...

Mes hocquets de junkie emplirent peu à peu régulièrement la pièce couvrant les autres bruits, apaisant à chaque seconde chacune de mes peurs ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Vendredi 16 mars 5 16 /03 /Mars 08:50
François conscient de mon trouble, se tint néanmoins coi. Il savait adroitement par sa discrétion dans notre relation me laisser franchir chaque étape de ma réflexion. C'est ainsi qu'il obtient de moi la quintescence. Il le savait et moi aussi je le savais : je savais qu'il me manipulait et j'en redemandais. Doucement, je repris dans ma bouche son pénis agité des battements de sa pulsation. Je léchais le bout, me délectant de sa mouille puis tentant à nouveau d'englober le Monstre.

Je le fis passer le long de mon palais le plus loin possible ... jusqu'à ce qu'un haut-le-coeur me saisisse ... Ma langue goûtait avec délice à sa peau fragile et tendre ... Un frisson me parcourut l'échine puis remonta le long de mon ventre jusqu'à électriser le bout de mes seins qui me firent délicieusement mal : les piercings avaient cette faculté d'avoir rendu hyper-sensibles mes tétons. François me releva en me saisissant une touffe de cheveux puis me saisit par les fesses pour me porter : je fis passer mes jambes autour de sa taille, ma jupe longue était repliée jusqu'en haut de ma ceinture. François avait toujours son pantalon baissé jusqu'aux cuisses, aussi, il sentit s'appuyer contre la peau de son abdomen ma chatte libérée de sa culotte quelques heures plus tôt.
Par Flower - Publié dans : Flower - Confessions d'une femme adultère
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Moi c'est Flower ... Je n'ai pas de talent particulier pour l'écriture mais j'adore la littérature érotique (et le sexe en général mais ça, vous verrez plus tard si vous êtes gentils). Aussi je me lance dans l'aventure du blog avec cette volonté.

Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


Voilà et gros bisous de bienvenue.



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