Charlotte - La Prof

Mardi 6 mai 2 06 /05 /Mai 11:30
- Ne vous en faites pas, je vais remettre du carburant dans la machine annonça-t-il en faisant un clin d'oeil à mes deux hommes.

Rassurés, ils se replongèrent concentrés dans mon corps. Kassim me saisit le bras et me posa une sangle sur le biceps. Je ne connais que trop ce geste !!! J'ouvris des yeux affolés.

-  Relax Charlotte ... Je te fais juste passer au trip intégral ... C'est du Ya-Ba ... Relax ... Il faut que tu restes calme pour que ton joli cul l'assimile bien. Relax ma chérie ...

J'en avais entendu parler ... Le Ya-Ba est dix fois pire que l'héroïne ... Accoutumance directe et immédiate.

- Nooonn hurlais-je, échappant à la bouche qui m'embrassait
- Tu te calmes ou ça va mal se passer, murmura Kassim ...
Les bras de mon vis-à-vis entourèrent aussitôt mon corps dans sa position foetale, immobilisant, ramassés, mon torse, mes jambes et mes bras. Mon bras droit sanglé offrait sa peau bleuâtre à force d'injections à l'aiguille remplie d'un liquide marron clair que Kassim enfonça sans pitié.

La brûlure me fit pousser encore un hurlement, cette fois-ci étouffé par la main qui me baillonait, comme si cette piqûre, pour la première fois me torturait ... Le liquide lourd et visqueux s'écoula dans mes veines m'engourdissant le bras puis l'épaule, mon cou puis la tête. Je sentis confusément les bras qui m'emprisonnèrent me relâcher tandis que tous mes muscles se relâchèrent eux-mêmes. La seringue était toujours enfoncée dans mon bras lorsque celui-ci se décrispa et se lâcha le long de mon corps. Ma tête se renversa sur le côté, les yeux révulsés par le bonheur qui m'enveloppa le cerveau. Je ne me rendais plus compte mais ma bouche s'entrouvrit pour happer l'air comme une morte de faim, la langue tirée était presque blanche. Je sentais le décor bouger, changer de couleur, sombrer dans le brouillard. Le sexe de mon voisin de dos était toujours profondément enfoncé dans mon vagin. Celui-là, paradoxalement, je le sentais ... J'avais l'impression qu'il grossissait dans mon ventre ... Mon clitoris hypersensible fut écrasé de plaisir. Je sentais une fleur de plaisir et de douleur mêlés éclore au fond de mon ventre, s'épanouissant sur chaque centimètre carré de l'intérieur de mon corps. Bientôt, ce fut mon ventre entier qui s'embrasa tandis que le pénis énorme faisait des va-et-vients tout en grossissant encore ... J'avais l'impression que ce n'était plus un pénis que j'avais au fond mais une batte de base-ball et ça n'arrêtait plus.

Mon coeur s'accéléra sous l'effet combiné du Ya-Ba et de mon plaisir ... Je hocquetais sans discontinuer tout en hurlant mon orgasme fabuleux qui ne s'arrêtait plus ... Je fus prise d'une crise d'epilepsie, ma tête se renversa sur le torse du mec qui éjaculait dans ma chatte. Je coulais comme une fontaine, je bavais comme une chienne enragée. Je sentais les mains de mon vis-à-vis triturer durement mes seins qui me semblaient se détacher de ma poitrine tout en gardant intact la sensation de bien-être.

J'entendis des exclamations dépitées :

- Putain, elle va claquer !
- Virez-la avant qu'elle nous emmerde.

Je sentis comme dans un songe qu'on me portait ... Où ? Dans la baignoire de la salle de bain apparemment ... On m'y balança comme un déchet ... Je n'étais plus qu'une poupée de chiffons qui coulait son plaisir lorsque le bruit du belier contre la porte me parvint au fin fond du cerveau. Je perdais connaissance de bonheur ... J'entendais à peine les éclats de voix :

-  Police ... Tous à plat ventre !!! Police ...
Je n'étais plus en état ... Ma crise d'épilepsie ne s'arrêtait plus et je fus secouée de soubresauts, ramassée en un foetus grotesque et nu. La dernière chose que j'entendis avant de m'évanouir fut :

- Merde ... Il y a une junkie ... Elle fait une overdose ... Elle est en train de crever !
- APPELLEZ UNE AMBULANCE !!!!
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Mardi 6 mai 2 06 /05 /Mai 11:18
Cette présentation lourde de sous-entendus sembla faire agiter de concert les Libanais. Deux d'entre eux qui étaient assis sur sofa s'écartèrent pour me laisser m'asseoir au milieu. Ils commencèrent à m'embrasser partout. L'un d'entre eux me fit tourner les épaules pour que je puisse lui faire face. Il me saisit la bouche entre ses lèvres en me tenant la machoîre entre ses mains grassouillettes. Sa langue s'insinua dans ma bouche, étonnemment douce. Elle s'enroula autour de la mienne la maniant avec une dextérité insoupçonnable. J'aspirais l'appendice qui me possédait la bouche avec douceur. Je me tournais complètement assise face au type qui m'embrassait, ramenant mes jambes repliées au niveau de ma poitrine me donnant une position foetale. Je fermais les yeux ... Mon autre voisin qui se trouvait désormais dans mon dos n'étais pas en reste. Il dénoua ma serviette lentement prenant soin de frotter le tissu rèche au niveau de mes parties sensibles, mes aisselles, mes seins ... Il me massait doucement le cou, ce qui acheva de me décrisper complètement. Les caresses des deux hommes s'insinuaient partout. Celui dans mon dos, effleurait de temps à autre mes lèvres intimes du bout de ses doigts sans jamais s'attarder à les tripoter ce qui eut pour don de les irriter de désir. Celui qui me faisait face continuait à m'embrasser sans jamais être brutal ... Sa salive se mélangeait à la mienne sans discontinuer. Des ses mains laissés libres, il me caressait le corps du bout de ses doigts, tout comme son camarade. Lui effleurait mes genoux, mes tibias, mes chevilles jusqu'à la pointe de mes pieds. Aucun d'eux ne pouvait accéder à ma poitrine protégée par mes jambes repliées mais cela ne les formalisa pas. Celui derrière, me souffla doucement dans le cou et derrière les oreilles ce qui me fit fondre encore plus ... De toutes façons, ils savaient depuis longtemps qu'ils avaient gagné, qu'ils allaient me voler mon corps ainsi que mon plaisir ...

Tout à coup, je sentis un objet froid et vibrant effleurer ma vulve ... Je me tournais tandis que celui qui m'embrassait venait d'abandonner ma bouche pour s'attaquer à mon cou. Celui derrière moi tenait dans sa main droite un vibromasseur qu'il tentait de mettre en contact avec ma vulve : ce n'était pas facile car mes fesses étaient presque posées à plat sur le cuir du fauteuil. Je basculais alors mes hanches pour dégager l'entrée de mon sexe. Il recommença alors à m'embrasser le dos de plus belle tandis que je basculais ma tête en arrière, les yeux fermés pour offrir mon cou à celui qui n'avait pas interrompu l'exploration de sa langue. Sans regarder ses mains, mon voisin de dos, remettait en contact le vibromasseur avec ma vulve. L'effet vibrant fit s'écarter mes lèvres intimes, brusquement inondées par ma mouille. Le vibro se frayait un chemin dans mon ventre tandis que je gémis longuement :

-  Oohmme-aouwww ... Hmmmmmhhhhh ...

-  Gémis ma chérie ... Gémis ... me chuchotta Kassim penché contre mon oreille, de l'autre côté du sofa. N'hésite pas à prendre ton pied ... C'est comme ça que je t'aime !
Le vibro faisait de longs va-et-viens pour m'élargir totalement. Puis mon voisin de dos le retira doucement, complètement trempé de ma mouille. Aussitôt, son sexe le remplaça ... Il n'eut aucune difficulté à s'enfoncer en moi : j'étais prête à le recevoir. Bizarrement, je préférais le vibro ... J'étais déroutée par mon sentiment. Mes yeux s'ouvrirent brusquement tandis que mon voisin de face avait ré-entrepris de m'embrasser sur la bouche. Kassim à l'affut avait aussitôt détecter la rupture du charme.
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Vendredi 2 mai 5 02 /05 /Mai 17:43
Je montais les escaliers dans l'indifférence des rares personnes présentes dans le hall et qui avaient appris à me connaitre depuis le temps. De la musique sensuelle s'échappait de sous la porte de l'appart de Kassim. Il m'ouvrit la porte en me gratifiant de son habituel "Dame Charlotte !" faussement surpris. Galamment, il me débarassa de mon mini-blouson :

-  Mets-toi à l'aise, débarasse-toi de tous ces vêtements mouillés et rejoins-nous dans le salon.
Je me dénudais complètement dans la salle de bain ... Ma peau blanche brillait dans la pénombre ...

Mais mon apparence malgré les efforts faisait peur. Mon teint était blafard, de ce tein blafard des camés. Les traces de rimmel qui avait coulé sous la pluie ne partaient pas. Le rouge à lèvres badigeonné à la hâte dans la voiture semblait n'être qu'une grotesque peinture de mauvaise qualité. Le reste de mon corps semblait strié de souillure bleuâtre ...

Je retentais le ravalement de façade sans vraiment réussir à corriger le tir. Kassim ne dirait rien ce soir mais demain matin, après le départ de ses invités, j'aurais droit à ma rouste.

Je passais de rasoir sur mon pubis afin de me débarrasser des poils rebelles de mon sexe. L'ourlet était parfaitement dessiné malgré le passage de ce connard de Guy.
Une serviette-éponge blanche était pliée et repassée à mon intention sur le guéridon de la salle de bain : je me drapais dedans ... masquant de façon coquine mon buste et mon aine tout en suggérant un érotisme torride en offrant le pigeonnant de mes seins et mes longues cuisses fuselées naguère marquées par la cellulite mais depuis ... non. La drogue a parfois du bon, conclus-je cyniquement en pensée mon introspection. J'avais laissé mes cheveux attachés et plaqués, pour mettre en valeur l'ovale de mon visage. En me voyant entrer dans le salon, Kassim m'offrit une coupe de Champagne ... Je me tenais en même temps le noeud de la serviette coincé sous mon aisselle droite pour lui éviter de glisser. Kassim m'entoura paternellement des bras les épaules en s'adressant à l'assemblée, sans doute des Libanais, hommes d'affaires :

-  Je vous présente Dame Charlotte, ma fille préférée (Des rires gloussèrent) ... Elle sera à votre service entièrement ... Seule obligation et pas des moindres : la faire grimper aux rideaux. Mais je vous rassure, elle a gardé ces facultés rares d'aimer profondément le sexe dans ce métier ...
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Mercredi 30 avril 3 30 /04 /Avr 19:46
La Mercedes d'Omar remonta la rue et se gara à côté de moi ... Il ouvrit la vitre :

-  Bordel Charlie ... Tu as l'air d'un sac ... Fais gaffe, Kassim va te faire ta fête s'il te voit comme ça ...
-  Je voudrais t'y voir toi sous la pluie comme ça ...
-  Tu sais bien que ce genre de prétexte ne marche pas ...
-  Ouais je sais ...
-  De plus, il vient de m'appeler : il veut que tu ailles le rejoindre chez lui ... Il a de gros clients qui ont entendu parler de toi ...
-  Putain ... Ca fait longtemps ? Il va me taper !
-  Monte et refais-toi une beauté dans la voiture ... J'ai réussi à le faire patienter en lui disant que tu étais encore avec un client ...
-  Merci Omar, tu es un ange ... Je te revaudrai ça ...
-  Pas de problème ma puce ... Allez, monte !
Je fis un petit coucou à Leïla et Anita qui me firent un petit clin d'oeil avant de m'engouffrer dans la spacieuse berline. Je me débarassais complètement de mes frusques et c'est toute nue, de temps en temps matée par Omar dans le rétroviseur, que je me refis une toilette. Je me servis des lingettes stockées en abondance dans la voiture, des lingettes pour bébé ... Je commençais par m'essuyer consciensieusement le corps entier pour le débarasser de la boue et du maquillage. Sur mon visage, c'était plus dur à partir mais à force de frotter, tout partit ... Ensuite, je m'appliquais à nettoyer mes jambes et mon sexe de la boue et du sperme du vieux tas ... J'insistais bien sur les parties intimes, les jambes bien écartées sur la banquette ... frottant mes douces lèvres intimes ... Incosciemment, j'étais en train d'exciter ce pauvre Omar. Il s'agita :
-  La vache ... Charlie ... Tu me fais bander comme un âne ... Dépêche-toi s'il te plait ...

Je souris affectueusement :

-  Je t'aurais fait une gâterie si on n'était pas pressés
-  Hélas non ... Je n'ai pas envie que Kassim nous fasse la peau ...
-  Tu as raison ... Dans une autre vie peut-être ...
-  Ouais peut-être ...
J'insistais bien également sur les pieds, puis je couvris mes ongles sales d'une épaisse couche de vernis noir. Heureusement, j'allais toujours bosser avec une trousse complète de maquillage. Je me maquillais ensuite les yeux abondamment pour masquer mes cernes. J'omis de mettre du blush, préférant garder le naturel de ma peau, qui avait également son charme fou. Néanmoins, je me couvris les lèvres de noir brillant. Je plaquais mes cheveux avec plusieurs barettes pour que l'éffilochage dû à la pluie ne se voie pas trop. Ainsi coiffée, j'avais l'air d'une jeune écolière qui excitait tant Kassim et la plupart de ses clients. Je remis mes vêtements humides. Je comprimais difficilement ma voluptueuse poitrine avec le corset qui faisait offrir comme sur un plateau mes seins albâtre. Omar avait démarré et roulait à vive allure vers la cité où logeais mon mac. J'attendis d'être presque arrivée pour enfiler une paire de bas résille neuve, après m'être assurée que mon vernis était sec. La voiture se gara au moment où j'achevais de fixer les boucles de mes sandales à talons. Je demandais son avis à Omar :

-  Alors ?
-  C'est parfait Charlie ... A dimanche !
-  A dimanche Omar ...
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Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 17:29
Guy n'en avait pas fini ...

- Essuye-toi devant moi Charlie ... dit-il en me tendant un paquet de kleenex

Je le pris et relevai bien haut ma jupette pour bien lui montrer ma nudité ... J'essuyais le coulis de sperme étonnament abondant de mon ouverture si tendre et usé après le passage de tant d'hommes.

-  Lèche-le Charlie, c'est bon pour ta toux ...

J'eus un haut-le-coeur mais Kassim avait ordonné qu'il avait carte blanche ... Je suçais le mouchoir qui se désagrégea dans ma bouche, inondant mes papilles de l'odeur entêtante de sperme.

- C'est bien ... Maintenant, fais-moi une gâterie comme tu sais les faire.

Il me caressa la joue comme je m'approchais de son pubis. J'essayais de réprimer un haut-le-coeur. J'émis des grognements pour l'exciter tandis que je le suçais avec application. Il me carressa la joue tendrement :

- J'aime ces moments où on partage nos fluides Charlie.

Si "partager nos fluides" veut dire me faire ingurgiter son foutre comme si c'était une chose naturelle, je comprenais qu'il "aime" comme il le prétend. Pour ma part ...

Mais ce genre de réflexions métaphysiques ne m'étaient plus permises : seul mon obéissance l'était.

Il éjacula grassement au fond de ma gorge. Il vérifia consciensieusemnt mon "travail" tandis que j'engloutis son sperme en même temps que mon dégoût. Il m'aida en passant ses doigts sur les coulures autour de mes lèvres.

- Regarde-moi ... Regarde-moi, Charlie ... Voilà ... C'est bien. Ca te fera du bien comme médicament ...

C'était enfin terminé ... Il me remit une liasse de billets que j'insérais dans mon bustier, entre mes seins ... Il me fit une bise tendre en me murmurant à l'oreille :

- Quitte cet endroit Charlie ... Deviens ma femme ...

Quitter Kassim pour devenir la chose de ce débris humain, je ne sais pas si j'y gagnerais quelque chose ... Au moins, Kassim m'emmenait au septième ciel quand il me baisait ... Je me demandais si je n'étais pas tombée amoureuse de Kassim ... Sa façon de prononcer "Dame Charlotte" me donnait des frissons et j'avais un pincement au coeur chaque fois qu'il préférait m'envoyer sur le trottoir plutôt que me garder chez lui, chaque fois qu'il me parlait de sa femme ... Etait-ce de la jalousie ? Non, plutôt la peur que ma situation n'empire, brisant ce fragile équilibre où le sordide et ma vie rangée se côtoyaient sans trop me détruire pour l'instant ...

Guy s'évanouit dans la nuit ... J'entendis sa grosse voiture démarrer ... Je marchais doucement pour rejoindre Leïla et Anita au bout de la rue ... J'aperçus dans l'ombre, Jenny ... Elle, ne m'aimait pas trop donc à peine un petit salut de la tête ... Une voiture passa ... Les occupants me sifflèrent mais ne s'arrêtèrent pas ... La voiture en passant m'éclaboussa les jambes ... Les occupants s'en aperçurent et me lancèrent à travers la fenêtre :

-  Mouillée un peu plus ou un peu moins ... Ce n'est pas bien grave ... Ca ne te change pas du foutre dont tu es couverte ... Salope ...

Sous la résille, mes jambes étaient striées de boue ... Mes sandales à talons naguères noires brillantes étaient également striées. De la boue s'était également insinuée sous les ongles de mes jolis orteils dont le vernis noir écaillé laissait transparaître le transparent de mes ongles et la salissure. Mes cheveux fins s'égoutaient doucement sur mon visage, faisant couler mon maquillage impeccable en début de soirée. Le rimmel avait coulé sur mes joues me donnant l'air d'avoir pleuré des larmes noires. D'ailleurs, sans m'en apercevoir, j'avais effectivement pleuré ... Des pleurs nerveux à force d'être humiliée ... J'aurais dû être forte devant l'adversité et ne pas basculer aussi facilement dans la drogue ... Trop tard pour les regrets. Aujourd'hui, remonter la pente glissante du goufre vers lequel je cours s'avère impossible ... Aujourd'hui, pute, demain quoi ?

Je refermais bien mon court blouson en cuir pour tenter de me protéger du froid et de la pluie ... J'eus une série d'éternuements qui fit couler mon rouge à lèvres noir. Il y avait toujours ce problème de mon arrêt de l'enseignement décrété par mon mac ... Que faire ?
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Mardi 22 avril 2 22 /04 /Avr 14:45
En y repensant, une violente migraine me prit à la tête. J'avais peur, une hystérie difficilement réprimée couvait au fond de mon coprs.

Ce n'est pas que je tienne à ma minable carrière de prof mais perdre pied avec la dernière partie de ma vie sociale qui soit un tant soit peu normale signifiait appartenir toute entière à Kassim sans plus aucune possibilité de s'en sortir ... L'espoir était ténu mais je voulais tout de même m'en sortir. Et ma paie de prof était ma seule rentrée d'argent qui échappait encore au contrôle de Kassim ...

Je sursautais quand une grosse berline pila devant moi. Un moment paniquée, pensant que c'était des mecs qui faisaient la chasse au prostituées ou des flics, je m'aperçus que c'était un de mes clients réguliers ... Guy ... Un petit vieux d'une soixantaine d'années ... Pas rassurant pour moi même si je ne risquais pas grand chose physiquement ...

Guy était un petit vieux d'apparence assez douce mais d'une perversité sordide qui me faisait peur. Il ne voulait baiser qu'avec moi ... Il ne voulait baiser qu'avec une blanche, trouvant que les Arabes et les Noires n'étaient que la lie de la société, n'ayant pas à se trouver en France. Malgré son racisme quasi-violent, Kassim ne trouvait rien à redire à l'incursion de Guy dans son univers : il payait très bien pour disposer de sa petite Charlotte comme il l'entend. Alors, mon mac le laissa faire ... y compris dans ses caprices : il ne voulait me baiser que sans capote en dépit des précautions exigées aux clients habituels.

Lorsque Kassim m'avait fait part des exigences de Guy, je l'avais supplié à genoux et en pleurs de ne pas céder, craignant plus que tout de contracter une MST comme beaucoup de mes collègues prostituées. Mais, dodelinant, Kassim se contenta de de me "rassurer" :

- Il m'a fourni un certificat ma chérie ... Il est clean ... Tu peux le laisser faire ...

Anita, un temps intéressée s'aperçut que c'était Guy, alors elle tourna les talons en haussant les épaules ...

Guy, sortit hors de sa berline et s'approcha de moi en balançant les épaules. Il me prit par la hanche et me traina dans un recoin sombre, dans un hall d'immeuble ...

- Alors Charlie ? Contente de me voir ?
- Oui Monsieur ...
- Allez ... Appuye tes fesses contre moi ...

J'obéis ... Le petit vieux souleva ma jupette et eut un grognement de contentement ... Il arracha ma culotte en dentelle qui craqua sinistrement ...

- Ca sent la bonne chatte ... Mmm
- Oui, je me suis préparée pour vous.
- Oh oui ça sent la bonne chatte ... Tu as raison.

Il écarta ma vulve et y appliqua entre les lèvres, un onguent. J'étais toujours debout, le buste penché en avant pour qu'il puisse tripoter mon sexe à son aise. La pluie fine avait achevé de détremper ma tête toute entière ... Des goutelettes fines et froides s'insinuaient partout ... Dans mon cou, sous le blouson, attaquant ma poitrine dénudée. L'acidité de la pluie sur mes cils me faisait cligner des yeux à toute allure ; mon nez commença à être à nouveau pris sous le froid ; je toussais grassement à nouveau :

- Teuhhh Euhhh Teuhh ...
- Ce sont les cochonneries que tu prends qui te font ça, osa "timidement" la voix fluette du petit vieux
- Teuh Euhh ...
- Ou bien c'est quand tu te fais baiser par les Nègres ... Charlie, tu m'écoutes ?
- Teuhh Euhh ... Oui ... Teuh ... Monsieur ...
- Qu'est ce que tu en penses ? ... Tu trouves ça normal que je sois obligé de te nettoyer le chatte de toute la merde que les Nègres laissent dedans chaque fois que je viens ?
- Teuhhh ... Non Monsieur ...
- Charlie, je t'ai déjà dit de m'appeler Guy ...
- Oui Guy, désolée ...

Kassim était bien sûr au courant des propos que me tenait systématiquement ce Guy mais pour lui, le business, c'est le business ... Guy se releva triomphalement :

- Voilà ... C'est propre ... Prêt à l'usage !

Entre-temps, il s'est dégraphé le fute et mit à l'air un sexe épais et ridé qu'il enfonça sans effort dans mes replis délicats et intimes.

- Alors Charlie ... Tu n'es pas contente que ce soit enfin un homme qui te baise ?
- Oui ... Han ...

Il venait de me donner un coup de reins qui me surprit ...

- Ca te change des singes hein ?
- Oui ...

Il aimait l'amour interactif ... J'étais clouée sur sa virilité agée comme un papillon de nuit ... Mes fesses étaient soudées, fossilisées autour de son dard pénétrateur et c'est lui qui dirigeait avec maestria notre accouplement malgré notre position peu confortable ... De ses mains, il entretenait l'écartement de ma raie pour bien détailler et observer mes lèvres intimes s'enrouler et se mouler autour de la circonférence de sa bite ridée.

- Rien n'est aussi beau que la vulve d'une femme ouverte par une belle bite ... Tu ne trouves pas Charlie ?
- Han ... Han ... Si fait, Monsieur ... Guy ...
- Une femme comme toi devrait se promener avec toujours quelque chose dans la chatte pour maintenir cet écartement si parfait.

C'est du délire total ... Quelle horreur ! S'il pouvait abréger mon dégoût ... Oui, je sentais qu'il allait venir ... Guy se crispa en me broyant les hanches amaigries par la consommation de drogue. Il explosa en passant la main par devant et en l'insinuant simultanément dans ma vulve pour l'agiter ... Il m'inonda de son foutre putride de vieux ... Je simulais un gémissement de contentement ...

Il se retira ...
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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 14:34
Je soupirais en revenant à la réalité ... Ce soir n'est pas ce qu'on appelle une soirée faste : la pluie, le froid devaient empêcher les clients d'affluer. Il serait pourtant de bon ton que quelques-uns se présentent ... Si je rentre bredouille, Kassim me rossera à nouveau et ça ne m'enchantais pas vraiment ...

Je sursautais en entendant Anita, mon autre collègue, aussi détruite par la drogue que moi :

- Charlie ... Tu ne peux pas me dépanner d'un fix ?

Ma bronchite me fit douloureusement tousser ...

- Teuhhh teuhh euhhh ... Tu ... Tu fais chier Ani ... Je n'en ai plus beaucoup d'avance ...
- Ca va vraiment pas toi ma chérie ... S'il te plait Charlie ... Si je redemande à Kassim, il va encore me tabasser.

Je n'allais évidemment pas laisser ma camarade dans la panade ... Ma dépendance n'est pas encore aussi avancée que la sienne. Je lui refilais une de mes dernières dosettes. Je me débrouillerais pour plus tard.

- Merci Charlie ... C'est pas la joie hein ?
- Non ...

Non, ce n'était pas la joie. Sa dernière phrase, juste avant que je rejoigne mon territoire me glaçait toujours le sang. Ma punition m'avait remis dans le droit chemin mais il ne s'était pas passé plus d'une semaine quand Kassim a serré une fois de plus la vis pour me débarrasser de mes dernières libertés :

- Charlie ... C'est la crise là ... Après les vacances, tu arrêteras ton boulot au lycée pour faire du plein temps ...

J'avais pourtant tout fait pour me rendre disponible au possible : je refusais toutes les heures sup qui auraient amélioré ma paie ridicule. Je vivais uniquement de mon salaire de base et de quelques aides de mes parents, à qui je cachais toujours ma situation réelle. Mais ça ne suffisait toujours pas à Kassim : ça l'énervait que je doive caler mes passes avec mon emploi du temps de prof au lycée. J'avais marché sur des oeufs pour tenter d'objecter :

-  Mais ...
-  Ma puce, tu es ma meilleure rentrée d'argent tu sais ... C'est grâce à toi que mes meilleures ventes se font ...
-  ...
-  Tu ne tapineras qu'en semaine ... Le week-end, tu feras de la "représentation" comme tu sais les faire ...

Ah oui, mais non ... Enfin, il me faut juste formuler ça autrement ... Mais Kassim me coupa l'herbe sous les pieds ...

-  Et puis ... Quand tu es à mi-temps comme ça, on ne se voit pas trop ... Tu sais bien que je t'aime ... Tu me manques ...
-  Je vous aime aussi Kassim mais ...
-  Si je ne te vois plus aussi souvent, tu risques de me manquer tu sais ... Toi seul sait faire des choses avec moi ...

La pente devient dangereuse pour moi ... Quand il se met à être aussi mielleux comme ça, c'est le signe qu'il ne l'est justement pas. Bien au contraire ... Ce serpent à sonettes est prêt à mordre et si je tiens à la vie, il s'agit de ne plus le contrarier ... Pour l'instant ...

-  Vous me manquez trop Kassim ... C'est la seule solution, vous avez raison ... J'arrêterai après les vacances de février ...
-  Je sais que ça te coûte ... Je sais que tu aimes le contact avec les enfants ... Si ce n'était pas la crise pour moi, je te ferai arrêter pour t'en faire plein ...

Autant je rêvais de faire des enfants, autant ... Non, pas comme ça ...

Mais pouvais-je faire autrement ?

- D'accord Kassim ... D'accord ... Je ferais du plein temps

Je réprimais un sanglot. Je fis semblant de sourire tandis qu'il me serra dans ses bras.

Kassim sourit et m'embrassa. Je répondis fougeusement à son baiser.

- Allez, habille-toi ... Tes clients t'attendent.

Pouvais-je faire autrement ?
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Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 16:59
Enfin, c'était terminé et c'est dans la voiture qui nous remontait sur Paris que Mr Black me fit faire une ultime fellation. Je faillis vomir quand il me força à avaler sa semence mais je fis mine d'aimer cela.

- Montre-moi comment tu kiffes avaler mon foutre, Charlotte.

Je lui exposais mon visage maculé du trop-plein de sperme que je n'avais pas réussi à avaler. Seuls mes yeux trahissaient ma réelle pensée : ils étaient larmoyants d'humiliation, de dégoût et surtout de profonde mélancolie.

Par pitié, tout de même, Mr Black me laissa me reposer durant le reste du voyage et ce n'était pas du luxe : cinq heures de sommeil, trop peu mais tellement beaucoup.

C'est juste couverte sommairement d'un drap sur le corps qu'une fois arrivés au bas du repaire de mon mac, je montais les marches pour me présenter devant lui, souriant comme si je revenais de faire des courses.

- Dame Charlotte ! Enfin, te voilà ...
- ...
- Tu es prête à aller travailler ce soir ?

Oui, décidément, mes quatre heures de repos n'étaient pas de trop. Evidemment, hors de question d'émettre une quelconque objection sous peine de retourner en redressement :

- Oui Kassim ... Avec plaisir ...

Kassim m'entoura les épaules de son bras à la fois protecteur et menaçant :

- Tu as été formidable ma chérie ... Je sais que tu fais ça parce que tu m'aimes.
- Oui, je vous aime

Oui, je suis hypocrite mais pas totalement : comme toujours, dès qu'il me dit qu'il m'aime, la midinette qui est en moi se sent flattée et valorisée. C'est le seul homme qui m'aime et ce sera sans doute le dernier homme qui me le déclarera.

Il m'embrassa tendrement. Je sais que sa tendresse n'est qu'intéressée, que c'est le seul moyen pour que son gagne-pain ne sombre pas totalement dans la folie, que je sois ce juste-ce-qu'il-faut de valide pour continuer à satisfaire ses clients de mon corps abîmé, mais c'est comme ça : j'étais totalement esclave de ces attentions que plus un autre mec ne me donnerait jamais.

- Je veux que tu sois la plus belle ce soir : je t'ai acheté une nouvelle tenue. Regarde !
- Elle est très belle Kassim ...

Je faillis tourner de l'oeil. J'allais atteindre le summum de l'indécence sur mon trottoir avec cet attirail pour poupée gonflable : une tenue tout en laçage qui me cacherait juste les tétons et le pubis accompagné de spartiates à talons immenses.

Mais Kassim m'aime : c'est l'essentiel vous ne trouvez pas ?
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Mardi 8 avril 2 08 /04 /Avr 17:54
Ils quittèrent la pièce, non sans m'avoir enfermée à clé.

Apparemment, il ne restait plus que les quatres malabars pour continuer à me violer pour le temps qu'il me restait à vivre dans cette ferme isolée. Tous les autres ... Abdou et ses copains ... Et les autres ... Tous les autres étaient partis.

Je m'assoupis d'un sommeil lourd peuplé de cauchemars. Je me recroquevillais comme une chenille ... J'avais froid ... Mes orifices ne se refermaient que péniblement ... Un mélange nauséabond de sperme et d'urine s'écoula de mon corps mais j'étais encore trop stone pour m'en formaliser.

Je devins ce que Kassim voulait de moi : une moins que rien sans âme, tellement terrorisée qu'elle serait dorénavant incapable de se rebeller.

Le réveil fut brutal ... Une brûlure éclata, montant de mes fesses et remontant jusqu'au cerveau ...

Le hurlement que je poussais fut réprimé aussitôt par une giffle.

Je tentais de me retourner, sans succès ou presque ... Je réussis à détecter Mr White ... Il avait, profitant de mon sommeil, pénétré l'anus sans semonce ... Je ne voyais pas mais l'origine de la douleur ne laissait aucun doute ... Son pénis racla douloureusement mes entrailles ... Le souffle coupé, je tendis la main devant pour griffer et agripper le haut du matelas ... Dans le brouillard de mes larmes, je détectais également la présence de Mr Brown et Mr Black debouts à quelques mètres, grillant une cigarette et observant la scène avec une trouble délectation ... Mr White éjacula au fond de mes intestins au bout d'une demi-heure, faisant montre de sa maîtrise de son plaisir, pour ma plus grande douleur ... Il se releva et se réajusta avant de sortir, grommelant des mots inintelligibles ...

Le soir d'après, après une énième séance en groupe où tous les quatre étaient à nouveau impliqués, Mr Black me fit mon intra-veineuse d'héro qui me fit un bien fou et qui me fit assoupir comme jamais ... Mon vrai "orgasme", c'était la circulation de cette pourriture dans mon sang ... Les quatre jours ne furent que répétition de cette épuisante journée. Les quatre redoublaient d'imagination à tous les niveaux pour user et abuser de mon corps et de ma sexualité ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 18:00
Mes yeux étaient rougis autant par les larmes que par cette substance de la mort qui s'écoulait dans mes veines. Mais ma libido de sordide prostituée camée et résignée se réveillait lentement pour s'offrir à quatre impatients dont les pénis dardaient vers le ciel comme les minarets de Sainte-Sophie.

A quatre pattes, incapable d'avancer autrement, je me plaçais lentement entre mes violeurs qui sans autre forme de délicatesse, s'enfoncèrent dans mon corps meurtri.

Le premier qui s'enfonça dans ma chatte dégoulinante provoqua une décharge dans mon corps comme si j'avais touché une ligne à haute tension : mes yeux se révulsèrent, incapable de se stabiliser, tellement j'étais stone ; de la bave s'écoula sans discontinuer de la commissure de mes lèvres, juste avant qu'un autre pénis s'y engouffra. Mais celui-ci comme celui qui me força en second le vagin, je ne les sentais plus. Une malsaine délectation se généra au fin fond de mon vagin et commença à englober tout mon ventre. Mes palpitations firent le reste et un râle commença à sourdre dans ma gorge, permanent et lancinant.

Mr Pink et Mr Black fichés dans mes frondements commencèrent à onduler en rythme, contents que leur compartiment à bites devienne si docile, y compris dans le plaisir. Mais cela non plus, je ne m'en rendais plus compte. Je sentais mon coeur exploser devant la fréquence de mes palpitations encore accentuées par ...

L'orgasme me faucha en me surprenant totalement ...

-  Ooo ... Hhhh ...
-  C'est vrai que tu es une pute comme on n'en fait plus ... Kassim n'avait pas tort en voulant te garder en vie ... Je parie que tu es la seule parmi tes copines à prendre encore ton pied avec tes clients ... Vrai ou pas ?
-  Hhhhh ... SIiiii ... Vraii ... C'est ... bon ...

C'était Mr Black qui me parlait ... Mr Pink, lui n'en était plus capable ... Il était arrivé au point de non-retour ...

-  Geeee ...

Sa bite cracha toute sa semence aussi loin qu'il put dans mon vagin ... Mr Black commença à pester :

-  Putain tu fais chier ... Tu vas me saloper la bite avec ton foutre ... Ce ... Ahhh ... Je viens ...

A son tour Mr Black éjacula, mélangeant sa secrétion avec celle de son compère et de la mienne au fond de ma matrice. Une fois terminé, ils restèrent en position le temps que mon corps assimile totalement leur sperme.

Et moi, mon rythme cardiaque baissa enfin même si je halettais toujours bruyamment. Ma crise de droguée passait petit à petit ...
Par Flower - Publié dans : Charlotte - La Prof
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Si le blog peut vous paraître décousu, c'est volontaire. J'aimerais le rendre un peu interactif et attractif. Votre mission, cher lecteur, consistera à assembler le patchwork des publications ... Vous verrez, ce n'est pas très difficile :)


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